Château Cantenac : un accueil chaleureux et des vins enchanteurs !
Exceptionnel
Château CANTENAC
Nicole Roskam-Brunot et ses fils, 4e génération, perpétuent leur savoir-faire avec passion. Le beau millésime 2017 va leur permettre de célèbrer leurs 80 ans à la tête du Château Cantenac, une belle histoire de famille ! La qualité de leur accueil et visites du domaine ont été primées par un “Coup de Cœur” lors des Best Of Wine Tourism !
Le vignoble du Ch. Cantenac s’est agrandit en 2016 de nouvelles terres attenantes, portant la taille de son vignoble à 19 ha. Ces nouvelles parcelles seront autant de nouvelles nuances apportées à ses vins.
La Famille Roskam-Brunot aime à dire que “son savoir-faire se construit par l’appréhension fine du millésime pour mêler leur philosophie d’harmonie et d’équilibre à ses vins, héritée de son histoire”.
- Château Cantenac Saint-Émilion Grand Cru: 19 ha à l’ouest de Saint-Émilion sur un terroir de graves et d’argile, 75% Merlot et 25% Cabernets. Un très grand vin, très séduisant. Belle robe d’un rouge intense. Son nez exhale des parfums de fruits mûrs, de sous-bois et de fines épices. La bouche est pleine et savoureuse, un vin charpenté par une matière noble. La finale est longue et d’une belle persistance aromatique très savoureuse. Millésime 2015 : Platine au Decanter World Wine, 2014 : Médaille Or Féminalise.
- Château Cantenac Saint-Émilion Grand Cru Sélection Madame : 95% Merlot et 5% Cabernets. Superbe Grand Cru, soyeux et charmeur, aux arômes nuancés de fruits rouges bien mûrs, avec des notes d’épices et de réglisse. La bouche est juteuse, de belle matière élégante. La finale est expressive et fruitée. Millésime 2015 : Argent Concours de Bordeaux, 2014 : Bronze IWC.
- Château La Lauzette Declercq Haut MédocCru Bourgeois : 60% Cabernet-Sauvignon et 40% Merlot. 70% de graves, 30% argilo-calcaire. Frans et Liz Roskam mènent avec entrain ce domaine. Jolis arômes de fruits noirs mûrs soulignés par des notes d’épices, de vanille. Vin ample et tructuré, avec une finale élégante.
- Château Moulin de Grenet : superbe moulin pittoresque de 1711, ancienne propriété d’une Abbaye cistercienne, avec 4,5 ha en coteau argilo-calcaire et plateau calcaire. Très joli Lussac Saint-Émilion, issu de 75% Merlot et 25% Cabernets, à la roberubis. Son bouquet exhale un joli parfum de fruits et d’épices. Bouche fruitée et juteuse avec une finale expressive, un vin ample et généreux. Millésime 2014 : Médaille Or Féminalise
Château Cantenac : un accueil chaleureux et des vins enchanteurs !
Un vignoble de 12 ha (7,7 ha en Montagne), sur terroir graveleux, 80% de Merlot, 20% de Cabernet-Sauvignon, élevage de 18 mois, dont 55% en barriques, le reste en cuves ciment. En 1742, Guillaume Durand héritier d’une famille ayant servi Montagne et sa paroisse (prêtes et notaires) au XVIIe siècle, transmet à ses fils la propriété de Lamarche. Des Durand à Isabelle, Maurice Carrère ancien marin de la Royale reprend l’exploitation de son beau-père en 1969, par son ardeur au travail et l’amour de la terre, il donna des vins appréciés. En 1997, Isabelle reprend la propriété après avoir enseigné l’œnologie et la viticulture pendant dix ans.
Cette propriétaire passionnée peut être fière de son Montagne-Saint-Émilion 2015, un vin de bouche ample, de jolie robe, tout en arômes, où dominent des notes de groseille, de griotte et de poivre, corsé et riche, de belle garde. Le 2014, de robe brillante, aux notes de framboise et de cerise cuite, un vin bien charpenté et équilibré, souple mais charnu, est parfait, par exemple, sur un lapin en cocotte ou un chaud-froid de cailles. Goûtez le Lalande-de-PomerolChâteau Les Chagniasses 2014, avec des notes de framboise et de cuir, d’un beau rouge profond, intense, de jolie garde.
Une exploitation familiale depuis plusieurs générations de 20 ha. Travail traditionnel (labour, enherbement), techniques modernes viticoles (pressoir pneumatique, thermorégulation, table de tri, vibreur...), des cépages variés (72% Merlot, 15% Cabernet-Sauvignon, 10% Cabernetfranc et 3% Malbec).
Le vignoble est cultivé de façon traditionnelle avec labourage du sol, chaussage et déchaussage en hiver et printemps, enherbement maîtrisé. L’effeuillage est mécanique ou manuel, suivant les parcelles ; La gestion parcellaire permet de donner des vins de qualité et de tradition. Les raisins sont récoltés à maturité maximale; les vendanges sont mécaniques, à la main sur certaines parcelles, avec un tri soigneux des raisins.
“Cette année nous a été bénéfique, nous dit Patrick Merle, rien n’a perturbé la vendange 2018 qui nous a apporté quantité et qualité. Les vins, structurés, tanniques, seront de garde, et, à mon avis, ressembleront au 2010.
Nos ventes pour 2019 : les 2016, 2017 et une cuvée spécifique 100% Malbec 2016.”
Pourvu d’une nouvelle et très élégante étiquette, ce très beau Lalande-de-Pomerol Prestige 2016, riche en couleur comme en matière, au nez complexe de fruits rouges à noyau et d’épices, très élégant, aux tanins bien présents auxquels il faut donner le temps de se fondre.
Le Lalande-de-Pomerol Tradition 2016, d’une grande finesse, au nez subtil où dominent le cuir, la cerise et les épices, aux tanins denses et puissants, gras en bouche, d’une très jolie finale.
Il y a également une nouvelle cuvée 100% Malbec, où ce cépage apporte cette couleur profonde, avec des nuances de violette et de réglisse, riche en matière, bien classique, structuré́, avec ces notes très caractéristiques au palais de prune et de fumé, un vin riche, tout en bouche.
Ce propriétaire passionné n’a pas perdu son temps en réalisant de nombreux investissements dans son vignoble de 20 ha (86% de Merlot, 12% de Cabernetfranc, 1% de Malbec, 1% de Petit Verdot pour les rouges, et 60% Sauvignon, 40% Sémillon pour les blancs) : mise aux normes du traitement des effluents viti et vinicole, achat de nouvelles cuves Inox de 90 hl, volumes plus petits qui permettent de vinifier séparément les parcelles et offrent plus de choix pour les assemblages, automatisation de la régulation de température, restructuration du vignoble d’une parcelle de 1 à 2 ha tous les 4 à 5 ans. Le Château Panchille est engagé dans la démarche du SME des vins de Bordeaux.
Remarquable Bordeaux Supérieur 2016, issu, 85% Merlot et 15% Cabernetfranc, qui a la couleur rouge soutenu, reflets pourpres, nez boisé, vanillé, notes de moka, fruits rouges mûrs, bonne concentration, tanins à la fois puissants et enrobés, la finale est longue et boisée.
Toujours ce beau Bordeaux Supérieur cuvée Alix 2015, Merlot 90%, Cabernetfranc 10%, 6 mois en cuves et 12 mois en fûts de chêne, aux tanins présents, riche et intense en bouche, marqué par son Merlot, au parfum de cerise et de sous-bois.
Excellent Bordeaux blanc de Fernand, créé par Pascal pour son fils Fernand, vieilles vignes de Sémillon 50% et Sauvignon 50%, d’une finale longue aux agréables notes d’agrumes, de bouche vive. Comme le Bordeaux rosé (50% Sémillon, 50% Sauvignon), de robe rose pâle, à la fois sec et friand.
Et pour finir le Graves de Vayres rouge 2016, (90% Merlot, 10% Cabernetfranc, au nez de fruits noirs macérés, aux connotations épicées, alliant une bonne base tannique à une finesse persistante, un vin dense, complexe, séducteur, de garde.
Depuis plus de 6 générations, la famille Lartigue est attachée à la terre de Listrac. C’est en 1973 que Bernard LARTIGUE devient le nouveau maître du domaine. En vrai médocain dans la lignée de ses ancêtres, et profondément attaché aux vraies valeurs médocaines, c’est avec passion qu’il créera les propriétés Château Mayne Lalande (Listrac), Château Myon de l’Enclos (Moulis) ainsi que Les Cinq Sens du Château Mayne Lalande, sa maison d’hôtes.
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Un caractère perfectionniste, rigoureux, exigeant d’un vigneron aimant le travail bien fait le mène à la recherche permanente de l’excellence mais aussi à se remettre en question chaque jour pour obtenir le meilleur potentiel du terroir afin d’élaborer de grands vins, disposant d’une aptitude au vieillissement très longue.
Fidèle à lui-même, mêlant charme et ampleur, son Listrac Médoc 2016, de belle robe brillante, avec ces notes de framboise et de violette au palais, est un vin vraiment savoureux, très classique, un vin gras et dense, au nez épicé, aux tanins présents qui commencent à se fondre, bien typé comme on les aime, d’excellente garde, comme le 2015, qui est d’une belle couleur pro- fonde avec des arômes de fruitsfrais et de poivre, souple et ample en bouche, d’un bel équilibre, au nez complexe à dominante de prune et d’humus, aux tanins bien présents, d’une finale dense avec cette saveur d’épices.
Le 2014, 60% Cabernet-Sauvignon, 30% Merlot, 5% Cabernetfranc, 5% Petit Verdot, fort bien élevé en barriques (30% de barriques neuves) est riche en bouquet comme en matière, aux tanins équilibrés, complet, élégant, tout en bouche, aux nuances de cassis, de truffe et d’humus.
Le 2013 est très réussi, élégant, aux tanins riches et veloutés à la fois, tout en finesse aromatique (cuir, groseille...), un vin de robe grenat soutenu, corsé, idéal, par exemple, sur un filet d'agneau aux échalotes confites ou un sauté de chevreau à la moutarde. Le 2012, particulièrement savoureux, de belle robepourpre soutenu, aux notes de framboise et de cannelle, est d’une grande harmonie, très parfumé, séveux. Le 2011 (50% de barriques neuves) est tout en bouche, à dominante de rondeur, ferme, tout en nuances aromatiques (cerise noire, cannelle...), de très bonne évolution. Le 2010 (50% de barriques neuves), de bouche riche, aux senteurs de mûre et d’humus, aux tanins équilibrés, est gras, distingué, de bouche flatteuse et riche à la fois, où l’on retrouve le fumé et la cannelle en finale. Découvrez également de belles chambres d’hôtes sur place.
❤❤❤❤❤ Au sommet, incontestablement, et cela vient récompenser un formidable rapport qualité-prix-plaisir. En effet, ce cru, marqué par la ?patte? et la passion d?Henri Duboscq, renvoie à un jardin d?enfants un bon nombre de crus surbarriqués et beaucoup plus chers. Il faut dire qu?Henri, secondé par ses fils Bruno et Hugues, est particulièrement chaleureux et sait de quoi il parle quand on aborde le sujet de l?élevage en barriques ou du terroir.
Un vignoble de 66 ha, complanté à 50% de Cabernet-Sauvignon, 40% de Merlot, 5% de Cabernetfranc et 5% de Petit Verdot. L?âge moyen des vignes est de 30 ans. Les vendanges sont manuelles avec recherche de surmaturité. Les vins sont élevés en barriques neuves pour chaque millésime, mais avec une maîtrise exceptionnelle pour choisir l?origine du bois et ne pas ?abrutir? le vin, avec les essences à grain fin adaptées à son cru. Il faut dire qu?une expérience de quelque cinquante années, cela aide...
?J?avais présenté le millésime 2016 en disant : ?après 55 millésimes que j?ai produit ici, Château Haut-Marbuzet 2016 correspond à la beauté du Monde?? Je n?avais jamais rien vu de si beau, mais, à ce moment-là, je ne savais pas que le 2016 pouvait avoir une sœur siamoise?, nous dit Henri Duboscq.
En effet, ce millésime 2018 est tout à fait exceptionnel, il a tout ! De la structure avec des tanins tellement fondus qu?on les confond avec le fruit, une belle maturité qui lui confère beaucoup d?onctuosité sans excès, un bel équilibre, c?est vraiment un vin de délice.
Haut-Marbuzet 2017 n?atteint pas les sommets, c?est plus un vin de plaisir, disons que ce n?est pas un monument mais, il a la vertu de la gorgée qui en appelle une autre, un vin gourmand, très agréable, beaucoup de finesse et de distinction, un vin qui permet d?attendre l?épanouissement des plus grands.
Le secret de ces derniers grands millésimes est le résultat de conditions climatiques particulières : sécheresse, températures élevées, soleil pendant les vendanges? Par le passé, on avait entre 50 et 80% de pluie pendant la récolte ! Dorénavant, on obtient des matières premières d?un état sanitaire remarquable, on se demande presque à quoi servent les tables de tris? C?est grâce au réchauffement de la planète que l?on obtient des millésimes si merveilleux.?
Formidable verticale sur place, des derniers millésimes à l?extravagant 1970.
Vous allez donc exciter vos papilles, avec ce Saint-Estèphe 2016, dense et corsé, aux notes fruitées, épicées, avec une belle concentration représentative du millésime, un vin charnu et structuré, de couleurpourpre, riche en arômes, où dominent en bouche les fruits rouges frais et une note poivrée, un vin qui mérite un peu de patience. Le 2015, de couleur grenat intense, bien charnu comme nous les aimons, aux notes de pruneau, est un vin marqué par son équilibre et son harmonie, qui associe puissance et distinction, de garde, naturellement. Le 2014 sent les petits fruitscuits, mêlant puissance, typicité et souplesse, de robe grenat soutenu, très aromatique en bouche, aux tanins très équilibrés, classique et prometteur. Le 2013, bien corsé et savoureux, aux tanins riches, souples, est bien équilibrés, au nez intense (mûre, groseille, épices...), en bouche très parfumée, avec des notes de cerise mûre et de truffe, fondue et intense.
Superbe 2012, ?chatoyant?, dit Henri Duboscq, d?une puissance en bouche, un grand vin, charmeur, très parfumé (griotte, humus...), mêlant exubérance au palais et finessetannique avec une très jolie finale grillée, le style parfait de Haut-Marbuzet dans sa jeunesse. Le 2011 est plus ?Saint-Estèphe?, avec une belle structure, dense et persistant, bien corsé, qui sent bon la framboise, la prune et l?humus, d?excellente bouche. Très grand 2010, qui dégage un très beau nez intense, des tanins bien présents mais enrobés, un vin très équilibré, dense au palais, où dominent la fraise des bois mûre et le poivre, mêlant structure et charnu, de grande garde. Le 2009 est splendide : de la finesse, de la complexité, de l?amplitude, un très grand vin où s?entremêlent la fraise des bois mûre, la griotte et l?humus, un vin corsé et gras, aux tanins bien présents et fondus à la fois, un millésime déjà très séducteur mais de grande évolution. On poursuit avec ce 2007, classique du millésime, ample, très parfumé, tout en souplesse, aux connotations de fruits, de cannelle et d?humus en bouche, c?est un vin parfait, notamment, avec un rôti de veau en croûte ou des magrets de canard aux champignons. Le 2006 semble se refermer, très typé par ce terroir de Saint-Estèphe, d?une complexité certaine, avec des nuances de myrtille et de grillé, de bouche puissante. Le 2005 se goûte très bien, dense, souple, structuré, au bouquet subtil et intense à la fois, un vin qui développe des arômes séduisants de cassis et de sous-bois, puissant.
Le 2004 est exceptionnel, très parfumé, très complexe, aux nuances de fruits noirs macérés, de cuir et d?épices, de bouche charnue mais distinguée. Le 2002 est dans lignée, un beau vin ample, riche au nez comme aux papilles, avec ces notes de mûre et d?humus, aux tanins savoureux, coloré et dense. Somptueux 2001, l?une des plus jolies bouteilles dégustées, à la fois très souple et dense, d?une grande ampleur, développant un nez envoûtant où les fruitscuits côtoient le poivre rose et le musc, d?une longue finale, idéal sur une cassolette de ris et rognons de veau à la moutarde ou un simple tournedos grillé.
On s?oriente ensuite vers ce qui fait la force d?un grand vin, sa capacité d?évolution, en faisant un ?saut? vers ce 1990, d?une grande longueur, au nez comme en bouche, avec ce côté légèrement ?rancio? qui lui va parfaitement, aux taninsgénéreux, avec cette bouche bien charnue, ample et séduisante. Le 1989 est plus ?chaud?, dominée par les fruits à noyau et la cannelle, un vin que l?on appréciera sur un foie gras aux figues, par exemple. Le 1987 parvient à maturité, il est à son apogée. Le 1986 est superbe, robe rouge teintée cerise noire, de bouche très équilibrée, au nez où se devinent les fruits mûrs, l?humus et les épices (cannelle, poivre), opulent, mêlant charpente et distinction, un très grand vin parfait avec un veau en cocotte aux épices ou une pastilla de pigeon. Le 1982 ne fait pas son âge, mêlant densité et harmonie, tout en nuances d?arômes, où dominent la réglisse et les épices, de bouche intense, vraiment remarquable. Le 1978 est très classique, et du millésime et de son terroir, où se décèlent des connotations de de fruits à noyau et de fumé, tout en bouche comme le 1975, surprenant par sa vivacité, sa couleur, son ampleur, comme ce grand 1970, lui aussi, d?une bouche dense, subtilement parfumée (champignons, cuir), avec des tanins raffinés, un vin qui emplit le palais. Voir également le MédocChâteau Layauga-Duboscq.
❤❤❤❤ Cette propriété familiale, exploitée par la Scea Meunier et Fils depuis 1988, appartient aujourd?hui au Gfa Meunier. C?est la 5e génération qui dirige le domaine. Les premières parcelles de ce petit vignoble ont été acquises vers 1840, et sont situées sur des sables anciens à l?ouest du village de Saint-Émilion, à proximité du Château Figeac et du Château Cheval Blanc. Les vendanges se font manuellement, les raisins sont transportés au cuvier dans des bastes, puis égrappés, triés et foulés pour être ensuite acheminés dans des petites cuves pour la fermentation.
Remarquable Saint-Émilion GC 2016, de belle robepourpre, au nez parfumé et subtil, aux connotations de cassis mûr et de truffe, fondu mais puissant, avec des tanins riches et veloutés à la fois.
Beau Château La Croix Meunier Saint-Émilion cuvée Georges Meunier 2015, de couleurpourpre, au nez confit, aux tanins très harmonieux, un joli vin, avec des senteurs de cassis et de cuir, riche mais d?une jolie souplesse au palais.
Sandrine et Camille Meunier