“Un vin n’a de génie que le génie de son terroir”, aime préciser Henry Duboscq. On pourrait donc penser que les hommes ne servent à rien, poursuit-il.
À Haut-Marbuzet ce n’est pas tout à fait le cas. Le terroir de Saint-Estèphe donne des vins austères, virils et agressifs alors, que, par tempérament, je suis un homme volubile, extravagant et caressant.
Ainsi, pour produire un vin que j’aime et qui me ressemble, je me suis battu “bec et ongle” contre ce terroir pour produire le plus marginal des Saint-Estèphe, c’est-à-dire, et cela m’a souvent été reproché, un vin séducteur dès sa mise en bouteilles, alors que ce n’est pas le style d’un Saint-Estèphe classique.
J’ai dompté mon terroir par des méthodes de vinification qui me sont propres, et dont j’ai été un peu le pionnier. Le logement intégral du vin en barriques de chêne renouvelées tous les ans. J’avais découvert qu’un vin en barrique neuve puisait dans son contenant une onctuosité parfumée qui masquait l’agressivité traditionnelle venue du terroir.
J’ai donc fait des recherches d’associations de différents chênes, sachant que, pour le bois aussi, l’influence du terroir apporte des saveurs différentes, selon les origines des chênes. C’est ainsi, que j’ai découvert que les chênes de l’Allier à forte chauffe, donnaient à mon vin ces notes empyreumatiques très caractéristiques. Je me suis rendu compte que les chênes de la forêt de la Nièvre apportaient ces légères notes toastées et un rien mentholé. Les chênes de la forêt de Tronçais à forte chauffe apportaient, eux, des notes de violette, de cassis et de framboise. Ainsi, l’association de ces différents chênes, et en fonction des millésimes, par leur vigueur tannique, donnaient au vin, une complexité très intéressante et gommaient, dans leur jeunesse, l’austérité et la rigueur des vins de Saint-Estèphe. On aurait pu penser, que le terroir était brimé, faussé par ces ajouts de chêne, c’était une erreur, car, après vieillissement, on se rend compte que l’influence des hommes et les techniques disparaissent, le terroir reprenant le dessus. Au bout de 4-5 ans, les tanins un peu virils de Saint-Estèphe dans leur jeunesse sont atténués, sont féminisés, comme quoi, le temps finit toujours par amenuiser les virilités les plus excessives.
Château Haut-Marbuzet 2018 : pour le 2018, les Merlots ont été ramassés juste à maturité sans atteindre la surmaturité. Le vin a une fraîcheur assez exceptionnelle. Les vendanges ont été arrêtées pendant 5 jours pour permettre d’attendre la magnifique maturité technique et phénolique des Cabernets sauvignons. D’une très belle structure avec des tannins très fermes mais très mûrs, la couleur est rouge prononcé, le nez enthousiasmant, exhalations de fruits rouges affriolantes.
Les saveurs gourmandes confirment le nez et le prolonge par une texture ferme, structurée et onctueuse. La finale laisse une impression soutenue, un rien rigoureuse mais l’influence du chêne pédonculé de chauffe moyenne, arrondit remarquablement cette finale. Après 2016, la nature nous permet de croire avec ce millésime à la répétition de l’exceptionnel.
Château Haut-Marbuzet 2017 : sans avoir les degrés de perfections de 2015 et 2016, il nous fait retrouver les jolies notes du 2012 avec un nez éloquent, des fruitscharnus finement compotés, des senteurs chaudes sans lourdeur ni mollesse.
Château Haut-Marbuzet 2016 : comme toujours, l’extraction modérée privilégie l’élégance contre la puissance. Néanmoins, l’ensemble rappelle la perfection des 2010. Derrière un nez dominé par la violette et le moka, le vin est plein et velouté, sa présentation révèle une belle matière profonde dominée par une juste maturité de raisins. Le tout, confère une élégance rare, corolaire d’une noblesse évidente qui se manifeste par un prolongement d’éternité. Je n’hésite pas à appeler ce 55e millésime de ma production, “la beauté du monde” !
Château Haut-Marbuzet 2015 : il fait partie des très beaux millésimes à Haut-Marbuzet. Une maturité phénolique remarquable associée à une maturité technologique maîtrisée, (degré moyen de 13,5°). C’est un grand vin de couleur grenat intense, bien charnu comme nous les aimons, aux notes de pruneau, un vin marqué par son équilibre et son harmonie, qui associe puissance et distinction, de grande garde.”
Château HAUT-MARBUZET
Henri, Hugues et Bruno Duboscq
1, rue Saint-Vincent
33180 Saint-Estèphe
Téléphone : 05 56 59 30 54
Bernard Thomassin n'est pas né Bordelais mais il l'est devenu... La famille Thomassin travaille depuis plusieurs générations dans la culture de la betterave pour la distillation en Ile-de-France, quand l'exploitation située dans le Val d'Oise, en butte à une urbanisation accélérée, est peu à peu rachetée par l'Etat. En 1985, la distillerie est fermée, surtout à la suite de la profonde modification de la politique de l'alcool en France. C’est en 1971 que Bernard Thomassin a la possibilité de racheter une propriété en sommeil, où tout est à faire ou à refaire.
Les 40 ha (dont 36 en rouge) du vignoble du Château de France s'étendent sur un des plus hauts coteaux de la terrasse de Léognan, la plus élevée des quatre terrasses de gravières édifiées au fil du temps. Vignoble certifié HVE.
Superbe Pessac-Léognan rouge 2019, 54% Cabernet-Sauvignon et 46% Merlot, élevage en barriques neuves pour 40% et de un vin durant 13 mois, de bouche ample et parfumée, légèrement épicée, d’une très jolie finale avec ces notes de poivre et de petits fruits rouges surmûris. Le 2018, est d’un rouge très foncé, puissant, d’une grande complexité, avec des tanins très soyeux, dont l’équilibre est parfait, extrêmement typé GravesPessac-Léognan, avec des notes de fumé, des arômes très complexes, vraiment un très beau vin.
Séduisant Pessac-Léognanblanc 2020, 80% Sauvignon et 20% Sémillon, élevage en barriques neuves pour 30% et d’un vin pendant 10 mois, d’une belle harmonie, où s’entremêlent des nuances de lis, de pomme mûre, d’une élégance persistante. Le 2019, a des notes d’agrumes bien spécifiques, un vin très bien vinifié, de robe brillante et limpide, aux nuances de fougère et de pomme au palais, d’une jolie rondeur, suave et persistant. Le 2018, est superbe, finement épicé, tout en arômes, d’une jolie finale suave.
Depuis 1964, la famille Rocher élabore des vins de gardeAOC Montagne Saint-Emilion riches et puissants. En 1964, Abel et Victorine Rocher, achètent une maison girondine avec 30 ares de vignes dans le hameau de Mirande au coeur de l'appellation Montagne Saint-Emilion. En 1995, après avoir travaillé une quinzaine d'années dans l'élevage bovin en Charente Limousine, Jean-Claude Rocher, leur fils, reprend le domaine de 2.5ha. Il réajuste les pratiques culturales en fonction de chaque parcelle (enherbement des vignes, vendanges vertes, effeuillage), perfectionne ses techniques de vinification (tri de la vendange, assemblage) et crée la cuvée Prestige élevée en fût de chêne. Parallèlement il développe la vente directe et adhère à la charte des Vignerons Indépendants.
Aujourd'hui, Hervé Dupeux, gendre de Jean-Claude, l'a rejoint sur l'exploitation familiale après avoir travaillé comme architecte paysagiste. Le vignoble familial de 4.9 ha sétend sur des solsargilo-calcaire s(2.1 ha) et argilo-siliceux (2.8 ha) caractéristiques de l'AOC Montagne Saint-Emilion avec un encépagement de 80% Merlot et 20% Cabernetfranc. La production moyenne est de 25 000 bouteilles par an réparties en 2 cuvées, Traditon (élevage en cuve inox) et Prestige (élevage en fûts de chêne). Les bienfaits de la nature, le lent travail du temps et le respect des traditions se retrouvent dans la qualité de leurs vins : par la pratique d’une taille rigoureuse, de l’éclaircissage des grappes, de l’effeuillage, des vendanges manuelles de raisins mûrs et sains, du tri, d’une cuvaison douce et suffisamment longue, et enfin d’un élevage de douze à dix-huit mois.
Comme d’habitude, voilà un superbe Montagne Saint-Émilion cuvé́e Prestige 2018, gras, parfumé, typé, corsé, au nez intense, de bouche concentrée avec des nuances de fruits noirs et de réglisse, puissant et savoureux à la fois, qui mérite une cuisine élaborée.
Très beau 2016, de belle robe grenat, gras, riche et charnu, au nez dominé par le cassis, le cuir et la griotte, un vin développant des tanins fins, tout en bouche, de garde, parfait sur des paupiettes de veau en cocotte ou une côte de bœuf marchand de vin. Remarquable 2015, tout en couleur et en matière, au nez de griotte et de fumé, gras, très bien charpenté, d’un bel équilibre en bouche, aux tanins denses et soyeux à la fois, de garde.
Pour terminer, le Montagne-Saint-Émilion Tradition 2018, médaillé de bronze au concours de Bordeaux 2021, est un excellent vin, tout en bouche, aux senteurs de fruits, de cannelle et d’humus, il est bien structuré au nez comme en bouche, un vin riche et savoureux.
Le vignoble familial Château Galand est une propriété fort ancienne, dont les bâtiments datent pour certains du XVIe siècle. Ses vignes s'étendent du flan méridional du fameux coteau argilo-calcaire en pente douce jusqu'aux plaines alluviales de la Dordogne dont les méandres serpentent à quelques mètres. La côte de Canon-Fronsac est le prolongement géologique vers le sud-ouest de la grande côte de Saint-Émilion portant ses crus les plus prestigieux. Au nord, s'étendent les vignobles de Fronsac. On y retrouve les calcaires à astéries et la molasse du Fronsadais donnant le vin dont le caractère suffit à le distinguer. Le relief accidenté empêche la stagnation des eaux et la proximité des rivières protège les vignes des gelées.
Avec ce Canon-Fronsac 2020, on voit le très beau potentiel qualitatif de ce cru, il a une robe soutenue, c’est un vin où s’entremêlent les senteurs de sous-bois et de fruits surmûris, aux tanins savoureux, un grand vin typé, de bouche savoureuse. Dans la lignée, le 2019, de bouche puissante, avec des arômes de framboise mûre, très fin mais charpenté, bien charnu, très parfumé en bouche, d’un bel équilibre pour ce grand millésime classique. Beau 2018, particulièrement harmonieux, aux notes fruitées denses, dominées par le cassis et la cannelle, un vin dense, d’un beau rubis foncé, d'une belle concentration aromatique et avec de la matière. Le 2016, (médaille d’Or Concours Général Agricole Paris 2019), très typé, harmonieux, aux connotations fruitées et épicées, aux tanins mûrs et riches, il est classique et élégant, avec de la matière et une bouche chaleureuse, un vin racé comme on les aime, qui développe en finale des connotations délicates de fruits macérés et de poivre, de garde.
Très bien fait, ce Bordeaux Supérieur Château Galand 2020, est très charmeur, au nez subtil où dominent le cuir et le pruneau confit, d’une très jolie concentration en bouche, aux tanins bien réels et fins, légèrement épicé. Le 2019, est délicieux, tout en arômes, corsé et gras, au nez complexe, corsé et charpenté, avec des senteurs de framboise et de mûre, de très bonne garde. Excellent 2018, tout en bouche, riche et coloré, aux arômes de cassis, corsé, aux taninsharmonieux et équilibrés, de bouche à la fois puissante et ronde.
Vignoble de 28 ha, situé autour du château, bénéficiant d’une exposition plein sud et qui appartient depuis 6 générations à la famille, Le vin est issu de vendanges manuelles. Les vignes, très anciennes, sont plantées sur des coteaux qui surplombent la Garonne, dans un terroirargilo-calcaire. C’est en 1964 que Marc Ducau, après avoir secondé son père dès l’âge de 14 ans, devint le propriétaire du château. En 1986, il proposa à son neveu, Daniel Sanfourche, de venir le rejoindre. Ce dernier devint gérant de l‘entreprise en 1995. Marie-Laurence, son épouse, le rejoignit en 1991 pour prendre en charge la partie commerciale et administrative de l’entreprise. En 2014, leur fils Nicolas, intégra l’entreprise familiale. “Pour produire un vin liquoreux, nous avons besoin d’un microclimat bien particulier. En effet, nous vendangeons des grappes “botrytisées” (pourriture noble) car c’est la meilleure solution naturelle pour concentrer le sucre à l’intérieur de la grappe tout en révélant la puissance aromatique du fruit. Il se trouve que ce champignon a besoin à la fois de beaucoup d’humidité pour se développer et de chaleur pour agir directement sur le fruit. C’est pourquoi le climat unique de notre région, avec ses brumes matinales épaisses et ses après-midi ensoleillés, nous permet de faire évoluer au mieux le Botrytis Cinéréa. Nous vendangeons exclusivement à la main pour cueillir uniquement les raisins arrivés à maturité. Un deuxième, voire un troisième passage dans la vigne seront nécessaires. Notre cépage principal est le Sémillon (90 %) qui apporte richesse et douceur. Le Sauvignon (10 %) apporte la fraîcheur, le fruité et la vivacité qui font la réputation de nos vins.” Œnotourisme.
On est toujours à la tête de son appellation avec leur Loupiac 2019, où s’entremêlent des connotations de citronnelle, de fumé et de lis, de bouche très subtile, d’une belle onctuosité et d’une finale intense (13 €).
Même prix pour le 2018, de bouche chaleureuse et distinguée, au nez intense et frais, où dominent les agrumes et les fleurs, de belle robe dorée, d’excellente bouche, de garde, bien sûr.
Superbe 2017, très fin, d’une structure raffinée, c’est un beau vin très équilibré, très persistant, aux nuances de pêche, de tilleul et de pain grillé, de garde, parfait aussi bien sur un canard laqué qu’avec un soufflé au Roquefort.
Écrin de sérénité en bordure des landes girondines, le domaine abrite un couvent de religieuses depuis plus de 150 ans. L'histoire du Domaine de la Solitude remonte en effet à 1820, année où Pierre Bienvenu Noailles, prêtre du diocèse de Bordeaux acquit cette propriété pour en faire le lieu de vie de toute la Sainte Famille de Bordeaux. Ce grand humaniste voulut faire de cette maison une terre d'accueil, aussi bien pour les membres de la communauté religieuse que pour les laïcs.
Afin de mieux se consacrer à son activité spirituelle, l'ordre de la Sainte Famille a confié en 1993 l'exploitation du vignoble à la famille Bernard, propriétaire du Domaine de Chevalier, l'un des crus classés les plus prestigieux de l'AppellationPessac-Léognan. Olivier Bernard a opté pour une gestion "Grand Cru" du domaine.
?Le Domaine de La Solitude a lui aussi un terroir assez frais qui se situe en limite de forêt, les gens qui vivent en forêt savent très bien qu?il y fait toujours plus froid et c?est cette relative fraîcheur qui a protégé les vins, nous précise Olivier Bernard, qui gère cette propriété. Cette proximité avec la forêt a aussi un intérêt écologique avec toute cette faune animale, ce sont des forces considérables pour les vignobles. Souvent nous vendangeons La Solitude après Chevalier, le terroir est plus tardif. Domaine La Solitude 2022 est le plus grand millésime que j?ai fait ? alors là oui, je n?ai aucun doute ! Le 2023 sera notre premier millésime certifié Bio, toutes ces dernières années nous étions 100% en Bio pour obtenir cette certification. Nous avons observé que depuis que la vigne est en bio, elle s?auto-protège, elle résiste mieux aux conditions climatiques un peu exceptionnelles que ce soit la gestion hydrique, les maladies éventuelles, le feuillage, la maturité, c?est vraiment la résilience écologique. Nous avons produit un peu moins de 38hl/ha pour les rouges et un peu plus de 40 hl/ha pour les blancs, ce qui est très honorable. Nous avons vraiment le sourire avec ce 2022.?
Domaine de La Solitude rouge 2020 est velouté, au nez dominé par les épices et les petits fruits rouges à noyau, coloré, bien parfumé en bouche avec des notes de réglisse et de fraise mûre, de belle évolution. 93/100
Domaine de La Solitude blanc 2020, il est particulièrement savoureux, suave et harmonieux, où dominent la pêche et les agrumes, tout en structure et parfums, tout en bouche, avec une finale complexe de fruits jaunes et de grillé. 94/100Olivier Bernard
❤❤❤❤ Propriété familiale, depuis 1855, elle existe pourtant depuis la fin de la révolution Française. C'est à dire six générations.
Domaine de 15 ha, 95% Sémillon, 4% Sauvignon, et 1% Muscadelle, sous-sol argilo-graveleux abondamment fourni en rochers.
Réussi, ce Sauternes 2018, aux connotations florales délicates, de bouche onctueuse, élégant et complexe, intense, alliant puissance et distinction, d?une belle ampleur en finale avec des connotations de pain brioché. Le 2017 a une belle longueur, typé et puissant au nez comme en bouche, aux notes discrètes de fruits confits et de fleurs blanches. Scea Lahiteau et Fils
Aujourd?hui, le domaine accueille la troisième génération de la famille, Lou Rochet. ?notourisme.
?Nous avons un très beau millésime 2022, nous dit Marie Vincent-Rocher, une très belle qualité mais pas beaucoup de quantité, peu de jus au final. La forêt autour du vignoble doit faire baisser un peu la température, apporter une certaine fraîcheur ce qui a été un atout en 2022. Le vin a une très belle couleur, c?est un vin riche, un très joli vin qui va plaire.
Lou, ma fille s?investit toujours beaucoup dans le vignoble, cela fait maintenant 5 ans qu?elle y travaille, elle est toujours en recherche, en expérimentation, fait des micro-cuvées, on se remet continuellement en cause dans ce métier, toujours un vrai challenge. Nous avons de très jolis vins à la vente, une récompense du travail bien fait.?
Graves rouge 2020, qui développe des arômes très intenses et complexes de fruits rouges et d?épices, avec des notes grillées, une bouche volumineuse, un grand vin racé. 94/10
Graves rouge 2019, riche en couleur comme en matière, au nez complexe de fruits rouges à noyau et d?épices, très élégant, avec cette bouche dense, suave, où la matière s?associe à l?élégance, de garde et bénéficiant de l?un des plus beaux rapports qualité-prix de la région. 95/100
Graves blanc 2020, fermentation en fûts de chêne français neufs à 30%., 55% Sémillon, 22% Sauvignonblanc, 11% Sauvignongris et 11 % Muscadelle, est d?un bel or pâle brillant, très équilibré, d?une fraîcheur persistante, un vin classique qui développe un nez puissant d?agrumes mûrs, au boisé bien fondu, dominé par une puissance aromatique persistante, de bouche intense où l?on retrouve l?acacia et les agrumes, un vin que l?on vous suggère avec des brochettes de fruits de mer ou des aiguillettes de bœuf en gelée. 93/100
Graves rouge Château La Vieille France 2020, riche et suave, aux notes de fruits, de cannelle et d?humus, très équilibré au nez comme en bouche. 90/100
Graves blancChâteau La Vieille France 2020, au nez subtil (acacia, noisette), tout en distinction et persistance en bouche, avec cette fraîcheur caractéristique, est un millésime classique, d?un bel équilibre. 91/100André Vincent, Marie Vincent-Rochet et Lou Rochet